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Microrésidence

J’ai vu la sorcière
Lucile Olympe Haute

■ Novembre 2020
■ Marseille
[Les microrésidences d’Alphabetville]

Les microrésidences d’Alphabetville

Alphabetville propose un programme de résidences de courte durée, ou microrésidences, avec des auteurs, autrices, chercheurs, chercheuses, artistes, qui sont invité·e·s à développer leur pratique sur le territoire, à découvrir ses réalités, à y partager des temps publics…

Lucile Olympe Haute mène une activité de recherche et de création. Depuis quelques années, ses activités croisent celles d’Alphabetville et de La Marelle, il était naturel qu’elle soit accueillie dans le cadre de ces microrésidences.

Le projet

La technologie numérique est au croisement des pratiques de Lucile Haute. La théorie et la critique, la fiction et l’imaginaire, sont au croisement de son écriture. Présence et absence, survivance et actualisation, composent des situations singulières et génèrent des dispositifs inédits, toujours investis et incarnés.

"J’ai vu la sorcière" est la création au long cours qui vient faire étape vers une édition hybride, restitution de médiations variées, de performances et de films, composée de matériaux iconographiques, de mises en mots et en récit.

→ En lire plus sur le site d’Alphabetville

Suite au confinement, une partie de la résidence a eu lieu hors-les-murs du 5 au 11 novembre 2020, et s’est poursuivie en janvier 2021.

À écouter

La première chose que je peux vous dire…


Un entretien avec Lucile Olympe Haute autour de la revue de La Marelle. Une rencontre enregistrée en studio à la Friche la Belle de Mai, diffusée sur les ondes de Radio Grenouille et en podcast sur la plateforme Transistor.



Partenaires et structures associées

Cette microrésidence est portée par Alphabetville, qui propose des résidences de courte durée avec des auteurs, chercheurs ou artistes, invités à développer leur pratique sur le territoire, à découvrir ses réalités, à y partager des temps publics…

La commande est la production d’un texte à l’issue de cette microrésidence, qui peut être de fiction, de poésie, ou de facture théorique ou critique. Il se formalise selon diverses modalités éditoriales, id est sous toute forme médiatique développée à partir de la textualité. C’est pourquoi Alphabetville coopère avec différents partenaires, dans la perspective de cette intermédialité, qui va de l’objet livre aux médias numériques, et qui habitent nos pratiques d’écriture et de lecture. De plus en plus d’auteurs y sont attentifs, intéressés, impliqués ou critiques, mais créatifs.

De cette ancestrale, originaire, figure (la sorcière et ses symboles) que Lucile Haute vient délivrer à Marseille, à la poétique qu’elle fait surgir du numérique, n’est-ce pas la concrétisation la plus souhaitée et attendue, autant qu’inattendue et rare, que La Marelle et Alphabetville tentent de mettre en œuvre à la Friche la Belle de Mai, à travers les expériences communes qui les lient, de soutenir à travers les résidences qui sont proposées et les créations qui sont accompagnées ?

Colette Tron
directrice d’Alphabetville, novembre 2020

Temps publics et restitutions

Participation aux événements

  • Les écrits du numérique #5 – 8 et 9 avril 2021
    La Friche la Belle de Mai, 41 rue Jobin, 13003 Marseille
  • Lecture-performance "Emprunts de Sorcière" – 11 novembre 2020
    Mercredis de Montévidéo, Marseille [Annulé]
  • Les écrits du numérique #4 –21 au 23 mars 2019
    La Friche la Belle de Mai, 41 rue Jobin, 13003 Marseille

Contact

  • Alphabetville : Colette Tron
    04 95 04 96 23
  • Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.

Alphabetville

Alphabetville est un espace de recherche, d’expérimentation, de création et de diffusion sur les rapports entre langage, écriture et média, et dont les réalisations se matérialisent sur divers supports technologiques. Les médias numériques dans ses différentes formes d’expression artistique occupent une place privilégiée au cœur de ces activités. Structure de production pour des œuvres multimédia et de diffusion par des programmations, c’est aussi un laboratoire articulant pratique et théorie de l’art et de la culture, particulièrement dans le contexte des technologies numériques. Il s’exerce en confrontant artistes, auteurs, chercheurs, intellectuels, opérateurs culturels et public, dans la perspective d’élaborer un espace public critique. Les objets et les manifestations proposés se présentent dans une variété de media et de formes – multimédia, projections, archives audiovisuelles, ressources web, rétrospectives, rencontres thématiques, conférences, débats, publications… Direction : Colette Tron