Le miroir grossissant de la littérature, j’ai alors pensé en surfant sur les mots. Est-ce que ce n’était pas cela que je fabriquais, écrire la vie vécue pour l’éclairer d’une lumière intelligible, fixer, cadrer et focaliser sur certains détails, parce que c’était ainsi, par la queue du diable du détail, que je pouvais tirer le fil de n’importe quelle histoire ? Mes clandestines