« Organisation, paroles, groupes humains, choses inertes peintes, façonnées, mobiles, dérobées, trouvées, autonomes : scomparo produit des installations sauvages, c’est-à-dire des rassemblements adressés à un public en liberté. Ces rassemblements momentanés coïncident la plupart du temps avec des performances parlées, et peuvent former des sortes d’organismes.
Scomparo considère les paroles comme le plus petit socle, l’espace le plus ténu qui soit pour exposer. Elle conçoit tout à la fois les paroles comme matière invisible, intelligence sociale et qui-vive : scomparo est une griotte plasticienne. »