Après des études littéraires, Aodren Buart étudie le cinéma à Lyon et à Montréal, avant d’obtenir son Master 1 de cinéma à l’Université Paris-Diderot.
En 2014, Aodren Buart obtient le premier Prix Terminales et Île-de-France au concours de Poésie en Liberté. En 2019, après un voyage décisif en Chine, il publie son premier roman, Le Singe sous la montagne, aux éditions Phébus. Il participe la même année à l’ouvrage de Phébus commémorant les trente ans des manifestations de la place Tiananmen, Tiananmen 1989–2019 Hommages et récits, en écrivant le court récit "Celui qui reste". En mai et juin 2022, il est en résidence à La Marelle pour l’écriture de son nouveau roman, Marée haute.
Parallèlement à l’écriture, il commence le théâtre baroque en 2017. Après un an passé au sein du Théâtre Molière Sorbonne, il monte le spectacle Les Regrets autour de la poésie de Du Bellay. Il est membre de la Compagnie Oghma depuis 2019, et joue chaque saison dans plusieurs de ses productions (Les Plaideurs, La Farce de Maître Pathelin, Amphitryon, Pyrame et Thisbé…).
Après avoir réalisé le court métrage As pedras que falam, présenté à la Mostra du Cinéma du Cariri (Brésil), Aodren Buart est présent sur le tournage de Atarrabi et Mikelats d’Eugène Green. Outre un peu de figuration, son rôle est de garder une trace vidéo du tournage. Il est par la suite sollicité par la Fondation de Serralves pour fournir un montage vidéo témoignant de la création du film pour l’exposition Eugène Green, L’Image de la parole, présentée à Porto entre novembre 2019 et février 2020. Il intègre la Fémis à la rentrée 2022.